• 15 novembre 2016

Oui, mais…

Oui, mais…

Oui, mais… 150 150 Emmanuel Dodé

Ce week-end de l’Armistice du 11 novembre s’est déroulé le dernier acte d’une saison nautique bien remplie.

Au long de cette année sportive, je suis monté sur la troisième marche du podium du National de Class A en mai à Quiberon, j’ai terminé Top 15 mondial et premier français au championnat du Monde de Class A de Medemblick (Hollande) et fini par remporter le Grand Prix de l’Armistice sur le lac de Maubuisson, toujours en Class A, dernier acte avant la « trêve hivernale ».

Alors oui, je ne boude pas mon plaisir d’avoir réalisé une belle régate le week-end dernier. Et le résultat parle de lui-même :

Conjugué au

Conjugué au « presque-parfait » !

Mais plus que le résultat, la manière compte plus encore pour moi et si le score semble sans appel, je souhaite le nuancer au travers du filtre de ma « quête ».

En effet, si je me suis efforcé de jouer avec mon « nouveau swing », j’ai pu identifié de nombreux points perfectibles comme mes empannages, la constance de ma vitesse au portant, la vitesse pure au portant en vol, le décentrement en vol, le relâchement à haute vitesse, le vol au près…Le changement est là, en cours, processus inéluctable…

Le chemin est encore long et je ne perds pas de vue qu’au niveau international, le rythme est encore plus soutenu, les erreurs se payant cash…Alors au travail !!!

Une course de vitesse dont le principal secret est de naviguer à plat !

Une course de vitesse dont le principal secret est de naviguer « à plat » !

Passé le stade de l’appréhension de la vitesse, il reste à découvrir tout le nouveau champ de la haute vitesse au portant. Des heures de pratique et de l’eau passée sous mes appendices qui me permettent aujourd’hui d’être dans la recherche de performance. Un travail en finesse au travers d’ajustement des réglages tant des appendices ou de « l’aile » de mon oiseau des mers.

Tout ça pour vous dire que j’ai hâte de renaviguer 😉

A propos d’appréhension ou de peur, mon parcours en développement personnel me permet de croire aujourd’hui que 95% (peu importe ce chiffre, mais il est suffisamment élevé pour en paraître comme la quasi-totalité) de nos peurs sont sans fondement ou n’arrivent jamais. Et que les peurs sont comme les nuages en avion ou le brouillard à terre, cela se traverse, alors quoi de mieux qu’un dessin animé pour redevenir enfant quelques instants, regarder le « Monde » sous un autre angle et ainsi y découvrir son insoupçonnable beauté :

https://www.youtube.com/watch?v=U1w_JANPACc

A très vite pour la suite

Carpe Diem

Emmanuel

Laisser une réponse